Mes valeurs et convictions

Mes valeurs

 

La solidarité

 

Une société sans solidarité est une société morte.

 

Notre Constitution cantonale le rappelle dans son préambule : pour favoriser l'épanouissement de chacun dans une société harmonieuse qui respecte la Création comme berceau des générations à venir, soit ouverte au monde et s'y sente unie, mesure sa force au soin qu'elle prend du plus faible de ses membres, et conçoive l'Etat comme l'expression de sa volonté, le peuple du Canton de Vaud se donne la Constitution suivante...

 

Les principes constitutionnels sont la base de mes actions et inspirent quotidiennement ma manière de fonctionner à la tête du collège municipal. 

         

La proximité                                     

 

Favoriser l'économie locale est une action responsable, tant sur le plan du respect de l'environnement que sur le plan social.

 

Consommer local, manger local, réfléchir local est une forme efficace de développement durable. Les commerçants, producteurs, artisans locaux sont nos voisins, nos amis. On voit ce qu'ils produisent. Nous devons y être attentifs et en prendre soin au quotidien et non pas seulement en temps de crise.    

 

Adhérer aux sociétés locales et autres associations régionales est un acte citoyen. Qu'elles soient culturelles ou sportives, elles sont le ciment de notre société.

 

 

 Mes convictions 

 

 

Une société basée sur la famille et sur un haut niveau de formation

 

Notre société ne peut fonctionner pour le bien-être de tous que s’il y règne une économie forte, dans laquelle les femmes trouvent une place à l’égal des hommes et où les plus démunis bénéficient des moyens de subsistance nécessaires à une vie décente. Une telle société n’est viable que si le niveau de formation de sa population est élevé. Elle s’appuie sur la cellule de base qu’est la famille. 

 

 Femmes et société

 

Il est grand temps d’appliquer la loi sur l’égalité hommes-femmes. Cela fait plus de 50 ans que les femmes ont obtenu le droit de vote en Suisse. Et pourtant les inégalités tant au niveau professionnel que privé restent manifestes. A cela s'ajoute des défis externes plus nombreux pour les femmes. Deux exemples : la reprise du travail est, notamment, plus difficile après une pause maternité ; il leur est encore plus compliqué qu'aux hommes. de trouver un travail après 50 ans. Dans notre société libérale, les femmes et les hommes doivent pouvoir évoluer sans aucune discrimination ni inégalité de chance.

 

Il est ainsi essentiel de soutenir les mesures permettant aux individus de concilier vie professionnelle et vie familiale. Cela passe aussi par la mise en place, par les entreprises, de conditions de travail flexibles et adaptées pour améliorer la situation tant des hommes que des femmes sur le marché du travail.

 

Je soutiens :

 

• Les démarches visant à une responsabilisation de l’économie en vue de l’abolition des différences salariales en fonction du sexe.
• La promotion, dans le monde économique, des postes à temps partiels, le « job-sharing », le télétravail et le travail à domicile.
• Les initiatives publiques et privées pour la création de structures d’accueil de l’enfance comme la mise en place de structures parascolaires adaptées aux besoins des familles. Je pense notamment aux cantines à midi ou au soutien aux devoirs. Tout cela permet de concilier vie professionnelle et familiale. 
• L’instauration d’une imposition individuelle afin que le travail de tous soit récompensé.
• L’augmentation des déductions fiscales pour les frais de garde aux niveaux fédéral et cantonal.

 

Formation et éducation

 

Investir dans la formation, c’est investir sur l’avenir.

 

La Suisse se distingue par son haut niveau de formation. À la formation de base, il est essentiel d’encourager la formation continue. Notre monde évolue à une vitesse folle et seule une adaptation aux innovations et aux nouveaux métiers permettra de maintenir notre qualité de vie.

 

Je soutiens :

 

• Les aides publiques individuelles à la formation.
• Les aides aux institutions de formation des jeunes.
• Les soutiens aux entreprises formatrices.
• Les soutiens à la formation continue.
• Les aides à la recherche.

 

La famille  

                                    

La cellule familiale constitue le berceau de notre société.

Elle est une richesse et un ancrage qui nous soutient tout au long de la vie. 

 

Je soutiens :

 

• Les aides aux familles.
• La mise en place de structures d’appui aux familles.
• Une révision de la fiscalité ne pénalisant plus les ménages mariés.

 

L'économie

 

Seule une économie saine peut offrir une politique sociale digne de notre pays.

 

La Suisse se porte bien et affiche un taux de chômage particulièrement faible. Rien n’est cependant définitivement acquis, la situation actuelle est là pour nous le rappeler.

 

Je constate avec appréhension une fâcheuse tendance à la réglementation tous azimuts qui pourrait bien étouffer le génie et la créativité de nos entreprises. L’avenir de nos PME, qui représentent plus de 99,7 % du secteur marchand, ne sera garanti que si le cadre légal leur permet de se développer.

 

Il s’agit d’être vigilant et je m’y engage. 

 

Je soutiens :

 

• Une politique fiscale équitable et supportable qui permette encore et toujours de financer l’entretien, les investissements  et  l’innovation.
• Un marché du travail flexible. Le maintien du dialogue entre partenaires sociaux doit en constituer les fondations (Convention collectives, entre autres).
• Une déréglementation de la loi sur l’agriculture. Nos paysans étouffent sous le poids d’exigences excessives qui les rendent non concurrentiels par rapport à leurs voisins européens et sapent leur esprit d’entreprise.

 

 Rien n’est jamais acquis

 

 

L’arrivée de la Covid-19 nous a tous pris de court, et nous a surtout démontré la fragilité de nos existences, de notre système de santé, économique et familial. La crise a mis à genou nombre d’entreprises et sans le soutien massif qui a été mis en place par la Confédération et les cantons, plusieurs d’entre elles seraient menacées. La restauration, l’hôtellerie, le tourisme sont les secteurs les plus touchés. Nous devrons désormais réfléchir avec ce type de risques et tenter de les anticiper par des mesures de prévention ciblées.

 

Ce qui nous a le plus manqué est certainement la vie sociale : rencontrer la famille, les amis, sortir, se divertir et se fondre dans la foule lors d’un concert ou d’une manifestation. La situation met en exergue les besoins des humains d’être connectés entre eux, connectés non pas dans le sens de la technologie, mais connectés en tant qu’être humain, partageant des valeurs communes, des joies et des émotions. 

 

Garder confiance en notre système, en nos autorités, être respectueux des normes et restrictions démontrent notre solidarité envers nos concitoyens.